MST et empoisonnement

La jurisprudence rechigne encore pour l'heure à reconnaître l'homicide par empoisonnement en cas de transmission d'une maladie mortelle par contamination sexuelle. Les magistrats estiment en général que la seul connaissance du pouvoir mortel de la substance administrée ne suffit pas à caractériser l'intention d'homocide.
Ils ont toutefois été amenés à préciser que le point de départ de la prescription pour homicide involontaire court du jour du décès et non de celui de la contamination.

 

© Ce texte a été tirer du livre Le Sexe et la loi, d'Emmanuel Pierrat, Edition La Musardine.

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